Nitrofurantoïne
Date de dernière mise à jour : octobre 2024
La plupart des grossesses mènent à la naissance de bébés en santé, mais des complications et résultats inattendus peuvent se produire. Ces risques sont appelés risques de base. Au Canada, le risque de base de malformations congénitales majeures se situe entre 3 % et 5 %. Cela signifie que 3 à 5 bébés sur 100 nés dans la population générale présentent une malformation congénitale majeure. Il existe également des risques de base pour les fausses couches (soit 15 à 25 grossesses sur 100), la prématurité et d’autres résultats indésirables. Les renseignements fournis indiquent si la prise de ce médicament est susceptible de modifier ces risques.
Résumé : Des études ont examiné les taux de malformations congénitales dans plus de 13 000 grossesses où la nitrofurantoïne a été utilisée au cours du premier trimestre. La plupart de ces études ont révélé que la prise de nitrofurantoïne pendant la grossesse n’augmente pas le risque de malformations congénitales majeures au-delà du risque de base. Un risque accru de fentes labiales/palatines (une ouverture de la lèvre et/ou du palais) a été constaté dans une base de données, mais n’a pas été détecté dans d’autres études. Même si le risque suggéré de fentes labiales/palatines existe, celui-ci demeure faible. Par la 12e semaine de grossesse, les lèvres et le palais sont formés, après quoi une fente labiale/palatine ne peut pas se produire. Les renseignements disponibles ne révèlent pas un risque accru d’autres résultats défavorables de grossesse. Pour plus de détails, veuillez cliquer sur les onglets ci-dessous.
Il faut traiter les infections urinaires pendant la grossesse, car les infections non traitées peuvent entraîner des complications pour la grossesse et pour le bébé en développement.
La nitrofurantoïne doit être évitée pendant la grossesse chez les personnes enceintes présentant un déficit en glucose-6-phosphate déshydrogénase (G6PD).
Veuillez demander l’avis de votre prestataire de soins si vous envisagez d’arrêter ou de changer les médicaments que vous prenez habituellement.
Cette information sur la nitrofurantoïne est générale et concerne uniquement l’usage médical. Elle ne remplace aucunement les soins médicaux et les avis de votre prestataire de soins de santé. Pour toute question concernant la posologie, le moment de la prise, les effets secondaires, les interactions, etc., veuillez communiquer avec votre prestataire de soins de santé ainsi que lire la notice fournie avec votre médicament.
Bien que les participant·es aux études mentionnées ci-dessous aient pu utiliser la nitrofurantoïne en combinaison avec d’autres produits, les études ne traitent généralement pas en détail des combinaisons de médicaments. Il est donc difficile de dire s’il est sécuritaire de combiner ce médicament avec d’autres produits pendant la grossesse ou l’allaitement.
La nitrofurantoïne est un antibiotique qui sert à traiter les infections urinaires.
La nitrofurantoïne est liée à un risque d’hémolyse (destruction des globules rouges) chez les personnes présentant un déficit en G6PD. Toutefois, dans la plupart des cas, elle est bénigne et n’entraîne pas de problèmes de santé graves.
Si le produit que vous utilisez contient d’autres ingrédients actifs, veuillez consulter notre page Expositions A-Z pour vous renseigner sur les ingrédients(s).
Pronunciation
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Des études ont examiné les taux de malformations congénitales dans plus de 13 000 grossesses où la nitrofurantoïne a été utilisée au premier trimestre. La plupart de ces études ont révélé que le recours à la nitrofurantoïne pendant la grossesse n’augmente pas le risque de malformations congénitales majeures en général, ou de malformations congénitales spécifiques, au-delà du risque de base.
Un risque accru de fentes labiales/palatines (ouverture de la lèvre/du palais) a été constaté dans une base de données, mais n’a pas été détecté dans d’autres études. Le taux de fentes labiales/palatines au Canada en 2023 était de 1,5/1 000 (https://health-infobase.canada.ca/congenital-anomalies/data-tool/). Même si le risque suggéré de fentes labiopalatines existe, celui-ci demeure faible (moins de 3 sur 1 000). Par la 12e semaine de grossesse, les lèvres et le palais sont formés, après quoi une fente labiale/palatine ne peut pas se produire.
Les études ne signalent pas de taux plus élevés de fausses couches, de mortinaissance (mort d’un bébé avant ou pendant l’accouchement), de prématurité (accouchement avant 37 semaines de grossesse) ou de faible poids à la naissance lié à la prise de la nitrofurantoïne pendant la grossesse.
Aucun risque accru d’effets nocifs pour les nouveau-nés n’a été constaté dans une étude portant sur plus de 5 000 grossesses exposées à la nitrofurantoïne.
Il existe des études de cas d’anémie hémolytique (destruction des globules rouges) chez des nouveau-nés exposés à la nitrofurantoïne en fin de grossesse. Une étude portant sur plus de 900 nouveau-nés qui ont été exposés à la nitrofurantoïne au cours des 30 derniers jours de la grossesse n’a pas révélé de risque accru d’anémie hémolytique. L’American College of Obstetricians and Gynecologists (ACOG) suggère que la nitrofurantoïne peut être utilisée comme traitement de première ligne des infections urinaires au cours des 2e et 3e trimestres..
Si vous prenez des médicaments pendant l’allaitement et constatez que votre enfant présente de nouveaux problèmes de santé ou des symptômes, veuillez communiquer avec votre prestataire de soins de santé. En cas d’urgence, veuillez vous rendre à l’urgence ou appeler le 911.
Si vous prenez un médicament ou une substance alors que vous allaitez votre nourrisson, vous devez savoir quelle quantité de ce médicament ou de cette substance passe dans votre lait. La dose relative reçue par l’enfant (DRRE) constitue l’une des mesures généralement utilisées pour en évaluer la concentration. Pour ce faire, on compare la dose de médicament reçue par l’enfant via le lait humain à la dose absorbée par le parent qui allaite. La plupart des médicaments dont la DRRE est inférieure à 10 % sont généralement compatibles avec l’allaitement d’un enfant en bonne santé. Il n’est pas nécessaire de calculer la DRRE pour chaque personne, car la valeur devrait le plus souvent correspondre à celle obtenue dans les recherches. Nous indiquerons la DRRE dans les renseignements ci-dessous, quand elle est connue.
La quantité de nitrofurantoïne qui passe dans le lait humain varie. Elle n’a pas été détectée dans le lait humain d’au moins neuf femmes prenant 400 mg de nitrofurantoïne par jour; cependant, elle a été détectée dans le lait humain de 10 autres femmes prenant entre 150 et 400 mg de nitrofurantoïne par jour. À la lumière des concentrations détectées dans le lait humain, la DRRE de la nitrofurantoïne est estimée entre 1,1 % et 6,0 %.
Dans une série de cas, une diarrhée a été signalée chez deux de six nourrissons exposés à la nitrofurantoïne par voie du lait humain. N’hésitez pas à consulter un prestataire de soins si vous remarquez des changements chez votre bébé (comme la diarrhée ou le muguet).
Si vous suivez un traitement de nitrofurantoïne, vous ne devriez pas allaiter votre bébé durant les neuf premiers jours de vie ou s’il présente un déficit en G6PD. Il est aussi préférable de prendre un autre antibiotique si vous allaitez durant le premier mois. Par contre, en l’absence d’alternatives, la prise de la nitrofurantoïne ne serait pas une raison d’éviter d’allaiter après que votre nourrisson ait neuf jours ou plus.
Si vous ne suivez pas la prescription pour un médicament, en dépassez la dose prescrite ou le prenez avec certaines autres drogues, il peut être néfaste pour vous, pour votre grossesse ou pour l’enfant que vous allaitez.
Si vous prenez des drogues ou médicaments à des fins non médicales ou au-delà des recommandations de votre prestataire de soins de santé pendant la grossesse, l’allaitement ou le parentage, consultez la ressource sur la réduction des méfaits obtenir d’autres renseignements. En cas d’urgence, veuillez vous rendre à l’urgence ou appeler le 911.
Grossesse
Des études ont examiné les taux de malformations congénitales dans plus de 13 000 grossesses où la nitrofurantoïne a été utilisée au cours du premier trimestre. La plupart de ces études ont révélé que la prise de nitrofurantoïne pendant la grossesse n’augmente pas le risque de malformations congénitales majeures en général, ou de malformations congénitales spécifiques, au-delà du risque de base. Un risque accru de fentes labiales/palatines a été signalé dans une base de données (National Birth Defects Prevention Study), mais n’a pas été détecté dans d’autres études. Le taux de fentes labiales/palatines au Canada en 2023 était de 1,5/1 000 (https://health-infobase.canada.ca/congenital-anomalies/data-tool/). Même si le risque accru de fentes labiales/palatines suggéré était exact, celui-ci demeure faible (moins de 3 sur 1 000). Par la 12e semaine de grossesse, les lèvres et le palais sont formés, après quoi une fente labiale/palatine ne peut pas se produire.
Aucun risque accru de fausse couche, de mortinaissance, de prématurité ou de faible poids à la naissance n’a été signalé avec l’utilisation de la nitrofurantoïne pendant la grossesse.
Aucun risque accru d’effets indésirables chez les nouveau-nés (indice d’Apgar faible à cinq minutes et transfert aux soins intensifs néonatals) exposés à la nitrofurantoïne in utero n’a été signalé dans une étude portant sur plus de 5 000 grossesses.
Il existe des études de cas d’anémie hémolytique chez des nouveau-nés exposés à la nitrofurantoïne en fin de grossesse. Par ailleurs, une étude portant sur plus de 900 nouveau-nés exposés à la nitrofurantoïne au cours des 30 derniers jours de la grossesse n’a pas révélé, elle, un risque accru d’anémie hémolytique. L’American College of Obstetricians and Gynecologists (ACOG) indique que la nitrofurantoïne peut être utilisée comme traitement de première ligne contre les infections urinaires aux 2e et 3e trimestres.
Il existe des études sur l’utilisation de la nitrofurantoïne pendant la grossesse et sur la santé de l’enfant plus tard dans la vie. Toutefois, ces études présentent des limites méthodologiques, et d’autres recherches s’imposent pour tirer des conclusions.
Allaitement
L’un des facteurs permettant de savoir si un médicament est compatible avec l’allaitement est le pourcentage de la dose relative reçue par l’enfant (DRRE). La DRRE permet d’estimer le degré d’exposition de l’enfant à un médicament qui passe dans le lait humain. Il s’agit du rapport entre les doses ajustées au poids de l’enfant et au poids de la personne qui l’allaite. La dose ajustée au poids de l’enfant est estimée en fonction de la concentration du médicament dans le lait humain et d’une supposition de consommation quotidienne de lait par l’enfant de 150 ml/kg/jour. En général, la plupart des médicaments dont la DRRE est inférieure à 10 % sont compatibles avec l’allaitement d’enfants ayant une croissance et un développement normaux. Le métabolisme, la clairance et la concentration du médicament dans le sang de l’enfant ne sont pas pris en compte dans le calcul de la DRRE. Même si la DRRE peut quelquefois varier, dans la plupart des cas, la valeur estimée convient en pratique clinique et il n’est pas nécessaire de la calculer pour chaque personne. Nous indiquerons la DRRE dans les renseignements ci-dessous, quand elle est connue.
La nitrofurantoïne n’a pas été détectée dans le lait humain d’au moins neuf femmes prenant 400 mg de nitrofurantoïne par jour. D’après les concentrations retrouvées dans le lait de 10 autres femmes ayant reçu une dose de 150 à 400 mg de nitrofurantoïne par jour, la DRRE est estimée entre 1,1 % et 6,0 %.
Les renseignements traitant des effets sur les enfants allaités viennent d’une seule étude, qui a signalé des diarrhées chez deux enfants sur six exposés à la nitrofurantoïne par voie du lait humain. Vous voudrez peut-être conseiller aux parents de surveiller l’apparition de diarrhée et de muguet chez leur nourrisson.
Les personnes traitées avec de la nitrofurantoïne ne devraient pas allaiter des bébés présentant un déficit en G6PD ou ayant moins de neuf jours. Pour l’allaitement de nourrissons âgés de neuf jours à un mois, il est aussi préférable qu’elles prennent un autre antibiotique. Par contre, en l’absence d’alternatives, la prise de la nitrofurantoïne ne serait pas une raison d’éviter d’allaiter à ce stade.
Réduction des méfaits
Si votre patient·e prend des drogues ou médicaments de manière contre-indiquée pendant la grossesse, l’allaitement ou le parentage, consultez la ressource sur la réduction des méfaits pour d’autres renseignements. En cas d’urgence, veuillez l’orienter vers une salle d’urgence ou appeler le 911.
Ressources supplémentaires :
Monographie sur les médicaments et les produits de santé naturels de Santé Canada,
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